Tout doux, inspire
retrouve la palpitation de ta chair
renoue avec tes désirs
Tout creux, le cri
que l’on n’entend pas
mais qui remplit l’espace
Tout seul, le martèlement
de ton âme qui n’en a pas fini
avec la vie
Tout près, accueille
dans tes narines frémissantes
l’odeur de la joie retrouvée
Tout à l’heure
tu ouvriras la porte
qui mène tes pas vers l’infini